L’OM : le club de la honte, de la pègre, des non-valeurs

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Les médias en font tout un baratin, de cet OM. Il faut dire que c’est un club populaire, très populaire. Mais loin des projecteurs qui le glorifient, derrière son rideau théâtral, la réalité est toute autre. L’Olympique de Marseille se ridiculise pour les valeurs qu’il bafoue, ses méthodes de recrutement peu scrupuleuses et ses étroites relations avec la mafia. La mort d’Adrien Anigo plus tôt dans la semaine- tué par balle, montre clairement que l’Omerde, comme les anti-phocéens aiment l’appeler, a toujours baigné dans la pègre. Bienvenue dans la cité phocéenne, là où on cambriole les maisons des footballeurs irrespectueux que l’on adule pourtant les jours de match, là où la Bonne Mère ferme les yeux sur des pratiques répugnantes et illicites. L’OM n’est pas beau, n’est pas grand, il est la honte du football français, le reflet des pires vices de notre société.

L’Olympique de Marseille : la loi du « cador »

La vie d’un club, n’est-ce pas ses supporters ? Qui est-ce qui chante dans le stade, soutient son équipe, paie le salaire des joueurs via des abonnements toujours plus chers ?

« Vend maillot de Lille siglé Thauvin, jamais porté, prix dérisoire». Cette annonce postée récemment sur le Bon Coin en a fait rire plus d’un. Heureux comme un enfant à qui on venait d’offrir un jouet, Vincent Labrune, le président de l’OM, a réussi à chiper Florian Thauvin à Lille, décrédibilisant le discours de Michel Seydoux et s’adjugeant peut-être l’un des meilleurs espoirs du football français. Les supporters du LOSC doivent être satisfaits d’apprendre que le nouveau visage de la honte évolue désormais du côté marseillais. Thauvin, petit gamin capricieux d’à peine 20 ans, touchant 45 000€ mensuels sous les couleurs lillois, a fait une grève volontaire pour rejoindre le club olympien. Il a obtenu gain de cause et voit désormais sa rémunération tripler. A l’heure où 28% des jeunes de son âge sont sans emploi, que la moitié de la France subit les conséquences de la récession, l’ancien bastiais ose jouer les divas. Au final, Thauvin et Labrune s’entendront bien. Le premier, sans respect ni valeur morale, a rejoint le club du déshonneur alors que le second, prêt à tout pour obtenir ce qu’il veut, a martyrisé médiatiquement le club lillois en lui infligeant une pression des plus exemplaires. Usant d’approches indignes, Labrune a l’air de pas mal se foutre des valeurs de respect et d’équité.

Si les dirigeants marseillais sentent mauvais, l’effectif du club phocéen n’est pas non plus parfait, loin de là. S’inspirant abusivement de la mentalité de leur « club de cœur » comme l’aurait dit un certain Florian Thauvin- étrange, le garnement n’avait-il pas prétendu plus tôt être un supporter du PSG ?, les joueurs marseillais aiment leurs supporters, on le sait tous ! On se souvient bien-sûr de Pierre-André Gignac (oui, le gros lard, c’est bien lui) qui s’était battu avec un fan inconditionnel de l’OM, ou encore de Matthieu Valbuena qui avait hurlé sur un enfant très enthousiaste à l’idée de voir son idole. Sauf que bien-sûr, on ne met pas ses mains sur la belle Porsche du natif de Gironde ! D’autres comme Dimitri Payet sont plus discrets. Carriéristes au plus profond d’eux-mêmes, ils n’ont jamais salué les supporters une seule fois, et ce malgré les nombreux clubs qu’ils ont déjà connu. Taper dans un ballon, c’est bien beau, encore faut-il regarder ce qu’il y a autour ! La vie d’un club, n’est-ce pas ses supporters ? Qui est-ce qui chante dans le stade, soutient son équipe, paie le salaire des joueurs via des abonnements toujours plus chers ? Non, ce n’est pas Dimitri Payet.

Des liens présumés entre l’OM et la mafia

Marseille possède le taux de criminalité le plus important de France. Si le Vieux Port est plutôt calme le soir, des buralistes se font égorger pour quelques sous dans les kiosques à journaux les plus isolés. Il était logique que la fortune des footballeurs y passe un jour ! Or, on a appris jeudi dernier qu’Adrien Anigo, le fils du directeur sportif de l’OM, a été retrouvé assassiné à l’intérieur de sa Twingo. Il aurait été fusillé à bout portant par des motards. Ces règlements de compte sont incessants à Marseille –et après on ose encore diffuser Plus Belle La Vie ! Tout ce qu’on peut dire, c’est que si Adrien Anigo n’avait pas participé à une série de braquage en 2006, 2007 et 2008, il n’en serait pas là ! Comment se fait-il qu’une espèce pareille soit été en liberté ? D’éventuels pots-de-vin ? Par ailleurs, l’OM ayant accepté de louer un véhicule à Adrien Anigo à de multiples reprises avant ses tentatives de braquage, il est logiquement directement lié à ces affaires criminelles ! Adrien Anigo est mort. C’est une vermine en moins !